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Vue d'Ensemble

Etablit au Liban dès 2008, le Cabinet Chéhab, Azar et Aoun offre une gamme complète de services juridiques et para-juridiques, par l’entremise des avocats du Cabinet et de partenaires spécialisés.

Le cabinet est né de la réunion des compétences de trois avocats : Me Béchir Chéhab, Me Walid Azar et Me Bachir Aoun. Chacun apportera au sein de cette dynamique collective son expérience professionnelle individuelle, forgée au cours de pratiques juridiques diversifiées.

Notre Mission est de créer avec nos clients une relation basée sur la confiance, la transparence et un professionnalisme à normes internationales. Le cabinet offre entre autre une mobilité internationale exceptionnelle.

Le cabinet sert une large clientèle formée d’individus, d’entreprises, de propriétaires et de développeurs immobiliers. Une collaboration étroite avec des partenaires spécialisés dans différents domaines, permet un accompagnement qui dépasse le cadre juridique restreint.

L’enfant naturel hérite-il en droit libanais ?

En droit musulman l’enfant naturel n’hérite que de sa mère et ses parents à elle. Chez les non-musulmans la loi ne prévoit pas tous les cas de figure. En règle générale l’enfant naturel chez les non-musulmans a le droit à la moitié de sa part s’il était légitime.

La succession en droit libanais. Quel régime appliquer ?

La succession en droit libanais, est régie par deux régimes différents. Le régime applicable aux musulmans et la loi du 23 juin 1959 qui concerne les non-musulmans.
Il faut savoir que ce système est d’ordre public et s’impose à toute succession ouverte au Liban et aux biens situés au Liban.

Il faut savoir qu’au Liban la différence de religion empêche l’accès à la succession. L’époux de religion différente se voit empêcher de succéder pour différence de religion.
Aussi la différence de nationalité pourra aussi devenir un obstacle à l’accès à la succession la loi applique la réciprocité diplomatique.

Le mariage et le régime matrimonial: Quel est le régime régissant les biens des époux en droit libanais ?

Le régime régissant les biens des époux en droit libanais est le régime de séparation des biens. Ce régime s'applique par défaut lorsque le mariage est contracté ou célébré au Liban. Les époux mariés à l'étranger sous un régime différent comme le régime de la communauté des biens, peuvent en général se prévaloir de ce régime. Cependant les tribunaux libanais hésitent à appliquer automatiquement ce principe, les tribunaux peuvent chercher à interpréter la volonté des époux dès lors que les règles du droit international sont appelées à jouer.